AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

Partagez
 

 AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Message



Invité


AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. Empty
MessageSujet: AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning.   AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. EmptyMar 7 Mai - 13:46



Aiden Alekseï Hopkins
feat CamSEKSYGigandet.

« The pain can show itself under various forms. That can be a small plucking, a light irritation, a shooting pain, a pain which we support every day. And there is a kind of pain which we cannot ignore. »

    Nom : Hopkins. Ouai comme Anthony, on sait.
    Prénom : Aiden, Alekseï. Moitié australien, moitié russe. Ah, les origines !
    Date de naissance : 18 novembre 1986. Dangereux scorpion...
    Nationalité : Russoaustralien. Meltinpot détonnant !
    Lieu de naissance : Moscou, Russie. Za zdorovie !
    Statut civil: Célibatard... Euh célibataire, pardon.
    Orientation sexuelle : Hétérosexuel. Toutes mes excuses messieurs.
    Classe sociale : Riche. Oups ! Où es ma liasse de billets de 100$... Tant pis.
    Emplois ou études : Agent immobilier de luxe. Merci à la Hopkins Society !
    Chanson favorite : Temper Temper, du groupe Envy On The Coast.
    Groupe : SHARK. Tu m’touches, j’te bouffe !
    Inventé ou scénario : Inventé de toute pièce m’dame (a)
__________________________________


La perplexité du caractère hautement volcanique du jeune homme faisait parfaitement écho aux multiples contradictions dont il avait été victime au cours de sa vie. Avant tout chose, si parfois les appaarences pouvaient être trompeuses certaines s’avéraient pourtant être un reflet parfait de la réalité concernant Aiden. Ses origines slaves lui avaient offert des yeux bleu particulièrement perçant et froid, donnant l’impression au premier abord qu’il était innaccessible et peu enclin à la conversation. Son air hautain lui a valut plus d’un commentaire désobligeant, ce qui ne le touchait pas réellement puisque son assurance lui permettait d’évincer ce genre de propos au détour de quelques réflexions biens senties. Après tout, ce n’était pas n’importe qui. Adopté par un richissime mania de l’immobilier, Aiden eu l’opportunité de vivre dans le luxe et il ne s’en cachait pas. Ainsi, on pourrait croire que ce dernier était bourré de préjugés de par son rand social, ce qui s’avérait être bien évidement faux. N’autorisant personne à le juger, il renvoyait la politesse à autrui en préférant se faire sa propre idée de la personne en apprenant à le connaitre par la suite. Certes, il l'avouait sans honte, ceux qui n’était pas de sa classe, n’attirait en rien le blondinet qui n’irait certainement pas instinctivement vers eux. Il ne fallait pas non plus le prendre pour Mère Thérésa ! Cependant, il restait un bon interlocuteur, à qui l’on pouvait facilement se confier lorsque l’on était dans son cercle d’ami. La philosophie de vie d’Aiden correspondait trait pour trait à des idéaux quelque peu hors du temps : « Profiter de chaque instants présents comme s'ils étaient les derniers ». A vrai dire, de nos jours, les gens courraient sans cesse, ne prenant jamais la peine ou le temps d’observer les alentours en se disant qu’ils avaient de la chance d’être en vie. Le jeune homme n’échappait pourtant pas aux périodes dites "sans". N’étant pas du genre à s’appitoyer sur son propre sort, Aiden se servait du sport comme d’un exutoire efficace à ses maux les plus durs. Comme tout à chacun, il était parfois en proie à des démons qu’il ne pouvait combattre, ou du moins dont il estimait ne pas avoir la force nécessaire pour y faire face. Tel un papillon de nuit, il écumait les nombreuses boîtes de nuit qu’il connaissait pour noyer l’ensemble de ses idées noires dans des litres délirants d’alcool ! Idée qui s’avérait souvent infrustueuse. Comme on dit : les problèmes savent nager.

On a tous des défauts prédominants, et Aiden ne déroge pas à cette règle. Très hésitant, il a du mal à savoir ce qu'il veut réellement et cela lui cause parfois des ennuis. En perpétuelle remise en question, son cortex cérabral ne le laissait jamais en paix et ses questionnements le menait couramment à un cul de sac. Pourtant, vous n’aurez que très rarement l’occasion d’apercevoir le blondinet sans son éternel sourire au lèvre. Peu démonstratif, il ne montre jamais ses sentiments. Peu adepte des confessions intimes auprès de qui que se soit, cette boule de nerf préférera dissimuler ses peines derrière un sourire de circonstance. Devenu un maître en matière de manipulation, cela s’avérait être un atout majeur dans ses fonctions d’agent immobilier. Il savait mentir comme personne, berner son monde ne lui occasionnait aucun problème éventuel de conscience. tant qu'il n'aura pas eu ce qu'il voulait, il ne lâchera rien, à quiconque d’ailleurs. Il usait à multiples reprises d’une palette effroyable de moyens peu orthodoxes pour arriver à ses fins. Persévérant, lorsqu’Aiden avait quelque chose en tête, il lui était impossible de passer à autre chose tant que qu’il n'aurait pas réglé ce lui m'importait et lui tenait à coeur. Extrèmement têtu, s’il était persuadé d’avoir raison, il ferait tout pour vous le prouver et dans l’éventualité d’une erreur de sa part il avouera difficilement qu’il s’était trompé. Lucas a peur de s’attacher et il a également peur qu’on s’attache à lui alors il met des distances ou il montre qu’il s’en fiche. Mais par-dessus tout, il a peur de l’abandon c’est pour ça qu’il ne montre jamais qu’il a mal, qu’il a peur, qu’il est triste, préférant garder ça pour lui et paraître fort aux yeux des autres, parce qu’il ne veut pas leur laisser la possibilité de l’atteindre. Le jeune homme est également quelqu’un d’extrêmement têtu et mais le fera quand même par honnêteté.

Possédant un sens de l'humour à tout épreuve, le jeune homme arrivait à dénouer une situation avec une poignée de mots, en usant parfois de l’ironie avec une facilité déconcertante. Le blondinet avait toujours apprécié faire rire son entourage, considérant l’humour comme une arme redoutable. Il se servait même de la dérision pour se moquer de tout et tout le monde, rendant l’évènement le plus triste totalement ridicule et risible juste pour voir à nouveau un sourire sur un visage triste. Considéré par ses proches comme quelqu’un de relativement serein, qui avait une sainte horreur de se prendre la tête en général, la réalité était tout autre. Colérique, voir lunatique, Aiden pouvait s’énerver très rapidement sans raison apparente. Tel le docteur Jekyll et mister Hyde, il possédait deux visages qu’il montrait à la face du monde en choississant soigneusement à qui il adressait ses personnalités. Une attitude qu'il se donnait et qu'il assumait totalement, seulement, la plupart du temps les gens prennaient ça pour de la méchanceté, ce qui était d’ailleurs parfois vrai. Sa désinvolture dérange, tout comme son allergie à toutes formes d’autorités telle quelle soit. Il se réfugiait souvent dans le sport et dans son rôle de Playboy pour oublier ses soucis et évacuer la pression que son père lui mettait perpétuellement sur les épaules. Sa popularité avait tendance à monter à la tête d’Aiden, c’était ainsi que l’on pouvait nettement s’apercevoir de son côté charmeur qui ressortait en société mais surtout lorsque de jolies filles se trouvaient dans les parages !

Les premiers rayons du soleil filtraient entre les épais rideaux qui dissimulaient la baie vitrée faisant face au lit à baldaquin. Un léger grognement contrasta avec le calmie ambiant. Deux corps entrelacés semblaient épris des bras réconfortants et protecteurs de Morphée. Tout semblait paisible… Pourtant, une impression de déjà vu persistante s’installa dans l’esprit - embrumé par le trop plein d’alcool de la veille - du blondinet qui peinait à ouvrir les yeux. Le bras ainsi que la jambe d’une quelconque conquêt entravaient ses mouvements. A moitié paralysé par cette sensu endormie, il pesta intérieur. Habilement, et du bout des doigts, il s’empara de la main étrangère pour la décaler sur le côté et ainsi réussir à respirer correctement. Une effroyable migraine fit son apparition à la seconde même où Aiden s’était relevé, l’obligeant à ne pas quitter le lit tout de suite. Ce qui attira son attention fut la fulgurante douleur qui s’empara de son bras droit. Pensant stupidement que ce devait être le pitoyable résultat de ses positions farfelus prises durant son sommeil, le natif russe y jeta quand même un coup d’œil… « Qu’est ce que ?! » Plaquant immédiatement sa main valide sur sa bouche d’où un son particulièrement rauque - et dont les décibels dépassaient largement le quota qu’il pouvait se permettre pour ne point déranger la masse informe étendue à ses côtés – sortit d’entres ses lèvres entrouvertes de surprise. Par-dessus son précédent tatouage, un lettrage rouge en chinois traditionnel (凯姆•吉甘特), un dragon aux vertes écailles avait été dessiné et qui épousait parfaitement la forme de son biceps. Malgré ses nombreux efforts pour se souvenir de la veille… Rien. Le néant total. Sans douceur aucune, d’un geste rageur, le blondinet repoussa alors la jambe de sa partenaire d’une nuit qui ne pipa mot. Dans quelle merde s’était il encore foutu ! Parfois, il avait la fâcheuse impression d’être en tout point ressemblant à un aimant… Un aimant à emmerdes plus précisément. La noirceur de la pièce ne lui permettait décemment pas d’y voir à plus d’un mètre devant lui. Ses pieds profondément ancrés au sol, il tentait vainement de percevoir quelque chose en plissant les paupières comme un… Comme un demeuré oui ! Soupirant contre sa propre bêtise, il prit le risque de se lever afin de contourner le lit en chêne massif quand soudain… « Eh merde ! » A peine eut-il le temps de prononcer le juron que déjà son corps rencontrait avec perte et fracas le sol froid ! L’un de ses orteils avait percuté l’une des pieds, le déséquilibrant et provoquant ainsi sa chute précipitée et tonitruante. Il fit alors dépassé sa tête au pied du lit, observant du coin de l’œil la jeune femme qui ne semblait absolument pas troublé par les bruits étranges qu’Aiden provoquaient à ses dépends. Son objectif étant de sortir vivant et habillé de ce putain d’appartement. Aux vues de ses premiers exploits, cela s’annonçait particulièrement compliquer. Du plat de la main, il cherchait frénétiquement des vêtements qui auraient pu choir au sol après un déshabillage express. Hormis un soutien gorge en dentelle rose qui n’appartenait évidemment pas au principal concerné, sa recherche se révéla infructueuse. Des vibrations se firent entendre, suivit de près par une sonnerie ressemblant à s’y méprendre à la bande originale du film Star Wars. Aiden écarquilla les yeux en reconnaissant le son provenant de son portable et qui était destiné à un numéro : celui de son père. Se cognant à de multiples reprises aux meubles présents dans la pièce, il atteignit non sans heurt le fameux cellulaire. « Allo ! … Pourquoi je chuchote ? Euh… Bonne question. Une habitude matinale certainement. … Quoi ?! Il est déjà midi ! … Je sais que j’ai un rendez-vous à ne pas manquer ! Je pars immédiatement, le temps de prendre une douche ! » Sans prendre la peine de dire au revoir à son géniteur, il raccrocha. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’une voix féminine retentit. « Qu’est ce que tu fous ? Puis t’es qui toi ? » Haussant les sourcils, il ravala sa colère et se permit même d’allumer la lumière en appuyant sur l’interrupteur qui se trouvait derrière lui. « Un cambrioleur nudiste ! Ca ne se voit pas ?! » Lui crachat-il au visage, visiblement surpris de ne pas être le seul à avoir une mémoire défaillant. S’apercevant de sa nudité, il mit ses deux mains devant ses bijoux de famille en gardant une prestance naturelle mais inutile tant la situation était ridicule ! Tout en reprenant ses esprits face au temps qui filait à vive allure, le jeune homme enfila son boxer (à l’envers pour ne rien gâcher du ridicule de la situation bien évidemment). Sa chemise bien trop froissée pour faire professionnel suivit ainsi que son jean et ses chaussures. « Je te laisse mes chaussettes, ça te fera un souvenir hein ! Bon je ne vais pas m’attarder, ce serait con de ternir le souvenir mémorable de la soirée passée ! A plus… Euh… Crystal ? Britney ? Bref on s’en fout t’façon ! » Sans demander son reste il fila à toute allure découvrant ainsi l’absence criante de sa voiture sur le parking de l’immeuble. Putain de journée !



Prenez votre ordinateur ou votre ipod et écoutez vos musiques en mode aléatoire, la première chanson sur laquelle vous tomberez, correspondra à l'opening credit de votre vie, continuer au fur et à mesure, jusqu’à arriver à end credit.
Opening credit : Blurred Lines by Robin Thike
Waking up : Thrift Shop by Macklemore
First day at school : I Write Sins Not Tragedies by Panic At The Disco
Falling in love : Stay by Rihanna Feat. Mikky Ekko
Fight song : Teenagers by My Chemical Romance
Prom : One More Night by Maroon 5
Life : Don’t Judge Me by Chris Brown
Mental breakdown : ATWA by System Of A Down
Driving far away : Nightcall by Kavinsky
Flashback : Hometown Glory by Adele
Wedding : 5 O’clock by Wiz Khalifa Feat. Lily Allen
Birth of child : Hangover by Taio Cruz Feat. Flo Rida
Final battle : Temper Temper by Envy On The Coast
Death scene : First Of The Year by Skrillex
Funeral song : The Funeral by Serena Ryder & The Beauties
End credit : I’m Picky by Shaka Ponk

__________________________________

Je m'appelle Boulan et j'ai maintenant 22 ans. J'ai connu le forum grâce à Bloup la magnifique et je le trouve au top du topissime. Ma fréquence de connexion est de cinq sur sept en rp et de cinq sur sept pour mon activité. Je viens de France. J'ai pris Cam Gigandet comme célébrité et le mot de passe est Ok by Camy.

FICHE CRÉÉE PAR THISH.

Revenir en haut Aller en bas



Invité


AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. Empty
MessageSujet: Re: AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning.   AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. EmptyMar 7 Mai - 13:56



it's my life !


« On est les enfants oubliés de l’histoire mes amis. On n’a pas de but ni de vraie place. On n’a pas de grande guerre, pas de grande dépression. Notre grande guerre est spirituelle, notre grande dépression c’est nos vies. »
Chapitre un. Quand on fait de l'espionnage, on ne choisit pas la manière du combat, on profite des circonstances.
« С днем рождения Alekseï ! » (Joyeux anniversaire Alekseï) La petite tête blonde, dont seul le haut du crâne et les yeux dépassaient au dessus de l'immense table en bois massif, lança un regard à sa mère qui s'empara de son petit corps frêle afin de le hisser sur ses genoux. « Идущие дыхания на ваших свечах и делают желание ! » (Allé souffles sur tes bougies et fais un vœu !)Le petit garçon prit alors une grande bouffée d'oxygène et souffla de toutes ses forces sur les 5 bougies présentes sur le gâteau. Son vœu ? Que sa maman arrêtes de pleurer le soir, seule, recroquevillée sur elle même en serrant si fort que l'emprise de ses doigts sur les draps rendaient les jointures de ses mains blanche... Pourquoi une femme si magnifique qu'Irina laissait elle des sanglots envahirent ses yeux bleu océan ? La jeune maman du petit garçon venait d'endurer en moins d'un an, deux fausses couches consécutives et son mari, Carter, n'avait de cesse de voyager à travers le monde pour son entreprise d'import/export laissant la solitude s'emparer de sa femme...

Le petit homme n'était pas pour autant malheureux. Issus d'un milieu modeste, sa mère étant femme au foyer, c'était son père qui, malgré son agenda de ministre, gagnait assez bien sa vie pour subvenir aux besoins quotidiens de sa famille. Curieux et casse-cou, Alekseï était donc fils unique et aux yeux de sa mère la septième merveille du monde ! Surprotéger de tout ce qui l'entourait, l'enfant naviguait entre les Etats-Unis et la Russie sans jamais s'attacher à quiconque tant les voyages étaient incessants. Cependant, la bulle de protection dans laquelle ses précautionneux géniteurs l’avaient enfermé explosa. Ses parents décédèrent lors de son quatrième anniversaire, alors ce fut la grand-mère du petit bonhomme qui décrocha en pensant que c'était un appel de sa fille pour excuser leur retard... C'était ce que pensait aussi Alekseï, trépignant d’impatience... Ce fut certainement le moment le plus bouleversant de sa vie qui se déroula devant son innocent regard d'enfant. La femme qu'il aimait le plus au monde, tomba au sol, pour finalement éclater en sanglot, le téléphone toujours en main. Impossible de comprendre les mots qui sortaient de sa bouche ! Il accourra alors pour s'emparer du combiner et entendre le bruit sourd du "BIP" de fin d'appel. Ce fut donc une heure plus tard, après avoir pleuré toutes les larmes de son corps, que la vieille dame expliqua à son petit fils que ses parents étaient morts dans un accident de la circulation lorsqu'ils étaient en route pour les rejoindre...

Tout ce dont Alekseï se souvenait aujourd'hui, c'était de la main de son grand-père qui saisit de manière compatissante son épaule pour le tourner vers lui, s'accroupir en plongeant son regard dans le sien et murmurer ses quelques mots... « Теперь, это - вы человек дома. » (Maintenant, c'est toi l'homme de la maison.)

Chapitre deux. Et alors il s’est passé quelques choses, je me suis laissé aller, dans un total oubli de moi-même envahi par la nuit le silence et la plénitude.
Les coups pleuvaient. De part et d’autre d’un gigantesque gymnase d’entraînement, les seuls sons que l’on pouvait distinguer se résumaient à des gémissements, voir des cris, de douleur ainsi que des ordres beuglés en américain. Dans un coin un peu plus reculé, sur un ring presque délabré, un petit bonhomme d’une dizaine d’années faisait percuter sans relâche sa jambe droite contre un homme, bien plus grand et âgé que lui, tenant fermement entre ses mains une planche en bois d’environ cinq centimètre d’épaisseur. Du sang s’écoulait des multiples coupures qui étaient présente sur cette même jambe. On pouvait lire sur son visage enfantin déformé par des grimaces, que cet exercice était tout, sauf agréable. Fin, élancé et déjà très musclé pour son jeune âge, aucun son ne sortait d’entre ses lèvres. Sa mâchoire était contractée, tout comme ses dents qui ne se desserraient pas malgré la difficulté de son entraînement. Au bout d’un quart d’heure, son entraîneur consentit à arrêter cette torture. Le blondinet prit place sur un tabouret en soupirant tout en disposant de chaque côté de son corps ses bras sur les cordes en cuir marron. Ses muscles enfin au repos, il reprenait sa respiration alors que son tortionnaire s’approchait pour asperger ses jambes meurtries d’eau froide. Après un sursaut dû à la différence de température, le regard clair du discipliné enfant se posa avec crainte sur cette masse de muscle qui lui faisait face…« Ne me dis pas que tu es déjà fatigué ?! Ce n’est pas comme ça que tu deviendras un homme Aiden ! Regarde un peu ton cousin. Pas une larme, pas un gémissement, il encaisse les coups et se tait. C’est ça, être un homme. » Le regard sombre de cet homme se tourna avec fierté vers ce dernier qui se battait comme un diable avec un adversaire plus grand, plus puissant et plus expérimenté. Avec une hargne et une détermination extrême, il tentait de repousser les attaques de son assaillant tout en plaçant des coups précis au niveau de son flan afin d’atteindre son foie et, ainsi, essayer de le faire plier sous la douleur. Mais la masse musculaire de ce dernier semblait pouvoir encaisser bien plus. Le blondinet en sueur l’observait, lui, avec haine. Une colère sans borne faisait briller de mille feux les prunelles bleues du petit garçon… Essuyant d’un geste rageur la larme qui s’apprêtait à couler, Aiden, autrefois appelé Alekseï, se releva pour se remettre en position de combat. Son père adoptif accueillit cet élan d’enthousiasme d’un simple signe de tête et reprit son entraînement.

Voilà à quoi ressemblait l’enfance d’Aiden. Matériellement parlant, il ne manquait de rien puisque sa nouvelle famille possédait les trois quarts de l’immobilité en Australie. Mais l’amour, la tendresse, l’attention, tous ces mots avaient, et ont encore sûrement, une signification pour vous, mais pas pour lui. Quasiment élevé par ses domestiques, les seuls rapports qu’il entretenait avec, le charismatique et non moins connu, Walter se résumaient à des entraînements quotidiens à partir de l’âge de 5 ans. Quant à sa mère, elle était trop occupée à voyager en prospectant pour l’entreprise familiale, écumant les galas de charité, les interviews et les rendez-vous d’affaire. Le blondinet suivait des cours par correspondance le matin, l’après-midi son programme c’était : 1h de kick-boxing, 1h de boxe Thaïlandaise, 1h de piano et pour finir la journée un professeur de langue lui donnait un cours de deux heures afin qu’il maîtrise au moins trois langues supplémentaires en plus de son russe natal. Ce fut donc tout naturellement, qu’à l’âge de 14 ans, l’adolescent était l’un des plus jeunes combattants à avoir remporté successivement plusieurs médailles et prix après avoir gagner des tas de compétitions toutes disciplines confondues. Mais ça n’avait pas l’air de ravir complètement son père qui était toujours plus dur et plus exigeant avec lui. A seize ans, le jeune russe savait parler couramment : le russe, l’anglais, le portugais, le français et le mandarin. Mais, là encore, ça ne semblait pas combler toutes les espérances de son géniteur ! C’est donc dans l’ignorance la plus totale, qu’Aiden grandissait, se forgeant ainsi un caractère de pierre.

Chapitre Trois. Dans le jeu de la séduction, il n’y a qu’une seule règle : ne jamais tomber amoureu.
Mexique. Cancun. Spring break. Chaque année des milliers d’adolescents se bousculaient à la porte de la ville dans l’espoir de vivre la meilleure semaine de leur vie. L’alcool coulait à flot, les concours de tee-shirt mouillés étaient monnaie courante. Sexe, beuverie, tel était le principe. Aiden était bien décidé à profiter de son séjour avec quelques amis. L’hôtel qu’il avait choisit allié à la perfection le luxe et la sobriété. En effet, plusieurs types de chambre, plusieurs prix et cette fois-ci le jeune homme avait décidé de prendre le plus bas de gamme dans l’optique de n’y être que pour récupérer des folles nuits auxquelles il participerait avec sa bande. Même dans le hall de l’établissement, le code vestimentaire laissé à désirer. Le principe était simple : moins il y avait de tissus et mieux c’était. Submergé par la population qui arrivait par flotte successive, le réceptionniste tendit les clés à l’australien sans y prêtait une attention particulière. Ses amis quant à eux tentaient désespérément d’attirer l’attention du personnel afin de s’installer le plus rapidement possible pour profiter immédiatement de la luxure qui s’annonçait être leur objectif unique. Cependant, la carte magnétique de sa chambre dénotait clairement avec son choix initial. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il découvrit l’intérieur d’une suite magistrale ! L’inattention du réceptionniste avait valu à Aiden d’être surclassé, pour son plus grand étonnement mais également pour son plus grand plaisir. Jetant négligemment son sac de sport dans un coin, il déambula sans but précis pour tomber sur la salle de bain. Du sol au plafond, le marbre régnait en maître. Offrant une baignoire aussi luxueuse que le reste, il ne put décemment y résister. Le voyage avait été particulièrement long et l’idée de pouvoir se prélasser ses muscles endoloris par les sièges de classe économique de l’avion était plus que satisfaisante. Pendant que l’eau s’écoulait, il se défit de l’ensemble de ses vêtements puis se plongea avec délectation dans le liquide moussant aux senteurs florales…

De nombreux coups furent frappés à la porte de la suite royale, réveillant du même coup le jeune homme qui sursauta à l’entente de l’acharnement certain d’un visiteur visiblement impatient. Tout en maugréant, il consentit à sortir du bain en ne prenant même pas la peine de sécher son corps dégoulinant d’eau. Dans le plus simple appareil, Aiden ouvrit la porte vêtu d’une serviette. Face à lui se tenait une fille d’environ son âge, les bras croisés sur sa poitrine et vu l’air peu commode qu’elle affichait cette rencontre promettait d’être électrique ! « Je peux savoir ce que VOUS faites dans MA suite ?! Vu votre tenue, j’imagine que vous en avez bien profité en tout cas ! » Incrédule, il l’observait en entrouvrant légèrement les lèvres comme muet devant ses propos colériques. Tenant toujours d’une main la porte, il s’effaça en indiquant la chambre dans le but de l’inviter à entrer. « Apparemment il y a dû y avoir une erreur dans la répartition des chambres. Pas besoin de hurler, je vous aurais très bien compris un ton en dessous vous savez. L’eau d’un bain ne rend pas sourd. » S’esclaffait-il presque, se moquant ouvertement de l’argumentaire hystérique de l’inconnue qui lui lançait à nouveau des regards peu sympathiques. A croire que tout le monde n’était pas ici pour passer du bon temps vu l’attitude guindée qu’elle affichait face au dénudé voleur de chambre. N’ayant honte de rien, et voulant provoquer tout naturellement la jolie brune, Aiden fit tomber sa serviette sur le sol sans accorder un regard à la principale intéressée. « Vous pourriez vous tourner s’il vous plait ? Non pas que je sois particulièrement pudique, mais tout de même un peu de tenue ! » Expliqua-t-il en arborant un air faussement choqué.

Voilà comment tout avait commencé entre ces deux-là. Une rencontre épique. Par la suite, ils avaient tout deux regagner leur chambre respective sans aucune envie, ni espoir, de se revoir durant leur court séjour à Cancun. Le destin, ou la fatalité peut être, s’en mêla pourtant. Lors d’une soirée dans l’une des plus grandes boîtes de la ville, ils se retrouvèrent collés l’un à l’autre sur la piste de danse. Bien trop orgueilleux aux premiers abords, ils jouèrent un moment au chat et à la souris avant de finir dans le même lit à l’occasion d’une nuit torride et alcoolisée. Une alchimie était née entre eux sans qu’ils n’aient eu le temps de s’en rendre compte. Leur relation était basé sur un mensonge pur et simple, elle disait s’appeler Samantha et être une étudiante londonienne quant à lui il prétextait être un étudiant russe se prénommant Alekseï. Une fiction, rien de plus. Et pourtant, ils n’avaient de cesse de s’observer à la dérobée, ils se retrouvaient chaque soir dans le plus grand secret, partageant une relation passionnée. A la fin du Spring Break, leurs amis s’envolèrent pour leurs contrées respectives pour le plus grand bonheur des amants qui partagèrent cette fois-ci leur amourette de vacance aux yeux de tous. Mais, oui parce que dans toute belle histoire il y avait toujours un « mais », la fin des vacances sonna également la fin de leur romance. D’un commun accord, ils décidèrent de ne pas garder contact et de ne jamais chercher à se revoir afin de chérir leur idylle tel un précieux souvenir auquel on repensait parfois avec une certaine nostalgie.

Chapitre quatre. On est du même acabit toi et moi, sauf que moi je n’ai pas peur de l’avouer.
Tout semblait parfait. Il flottait dans l’air une odeur florale particulièrement douce qui embaumait ainsi l’ensemble de l’immense villa. Les matériaux en total adéquation avec les couleurs des pièces n’étaient que le reflet du luxe qu’arborait l’architecture même de la bâtisse au design soigné. Les rayons auréolés du soleil entrait de part et autre via les baies vitrées traversante qui offraient ainsi une apaisante luminosité. Un homme d’une cinquantaine d’années semblait en grande discussion, totalement absorbé par la conversation téléphonique. Pendant que ce dernier s’affairait, trônant au milieu du salon dans son costume trois pièces signé de la main d’un célèbre couturier, plusieurs personnes courraient dans tous les sens afin de parfaire les derniers préparatifs. En effet, si le personnel était en effervescence, ce n’était pas pour rien. Aujourd’hui, ce fraîchement divorcé cinquantenaire s’apprêtait à renouveler les vœux du sacre saint mariage auprès d’une femme de dix ans sa cadette. Ayant tout deux un enfant d’une précédente union, ils souhaitaient leur annonce la grande nouvelle au cours d’un repas. L’élue de son cœur ne tarderait pas d’arriver en compagnie de sa fille et son propre fils, lui, était toujours aux abonnés absents. Sans moyen pour le joindre, bien évidemment. Au bord de la crise de nerf, Walter faisait les cents pas en s’égosillant sur son service de sécurité pour les motiver à retrouver la trace d’Aiden. Ce bâtard allait à nouveau tout fiche en l’air sans la moindre trace de culpabilité. Relativement, l’homme d’affairait regretté d’avoir adopter cet électron libre je m’en fouttiste et irrespectueux. Une femme noire en tailleur se présenta à lui, pourvu d’un accent à couper au couteau, en lui annonçant que deux jeunes femmes du nom de Morgan étaient arrivées. Déglutissant difficilement, il se décida à opter pour une apparence décontractée. Un piètre mensonge valait mieux qu’une vérité peu reluisante. « Sophia, Siobhan ! Je vous en prie entrez, ne restez pas dans le hall. » Gentleman, et en présence de sa future belle ami, il se contenta d’un simple baiser sur la joue pour accueillir sa fiancée. Une servante vint prendre les manteaux de ces dames pour qu’elles puissent aisément se déplacer en ces lieux. Toujours aussi émerveillée par sa demeure, Sophia ne pouvait décemment pas s’empêcher d’observer chaque recoin. « Je ne crois que je me lasserai jamais assez de te dire que ton intérieur est magnifique, Walter. » L’aspostropha-t-elle tout en prenant place sur l’un des canapés en cuir blanc de son hôte. Siobhan, quant à elle, traînait légèrement des pieds alors qu’elle emboîtait le pas de sa mère. Toute cette mascarade l’horripilait au plus au monde mais elle n’avait bien évidemment pas l’opportunité de répliquer, pliant ainsi l’échine devant les demandes de sa mère.

La nervosité de Walter était plus que palpable, il bafouillait de vague excuse concernant l’absence de son fils. Coupé dans son discours décousu, la porte d’entrée claqua, bruit de fond suivit par une série de gloussements approximatifs. Aiden fit son entrée, lourdement appuyé sur les épaules de… Jumelles. Deux blondes plantureuses soutenaient le jeune homme apparemment légèrement éméché. Dans l’une de ses mains il tenait encore une bouteille de champagne aux trois quarts vides. Cette pitoyable scène rendit l’hôte et ses invités muets devant tant d’aberration. En relevant la tête, dissimulé derrière une paire de lunette, le retardataire porta son regard sur les gens qui se trouvaient actuellement dans SON salon. En fronçant les sourcils, il fit glisser ses lunettes du bout du doigt poussant le vice un peu plus loin en plissant les yeux pour améliorer sa visibilité. « Père, vous ici. Aurais-je oublier un éventuel rendez-vous ? … Mesdames, veuillez nous excuser quelques minutes. » Chuchota-t-il aux mannequins en ôtant ses bras de leurs épaules dénudées. Désabusé, son père sortit de sa passagère léthargie en pressant le pas vers ce fils indigne qui osait s’afficher ainsi devant sa future belle famille. D’une main vengeresse, ce dernier s’empara du col de chemise d’Aiden pour le traîner un peu plus loin, à l’abri des regards, et oreilles, de leurs spectatrices actuelles. Violement, le quinquagénaire repoussa le corps du soûlard contre mur qu’il rencontra avec pertes et fracas. L’une de ses mains massait nerveusement sa tempe dont l’une des veines étaient anormalement gonflées, signe d’une intense colère. « Aiden… Comment oses-tu te présenter ainsi ?! Tu pues l’alcool à des kilomètres, tu te trimballes avec deux filles de joies à tes bras, mais à quoi pensais-tu bon sang ?! Non ! Ne réponds pas, je ne veux pas savoir. Je te laisse dix minutes pour appeler un taxi à tes amies, pour t’habiller correctement et pour te débarbouiller. Dix minutes Aiden, pas une de plus. » Sans demander son reste ni laisser à son fils le temps de répliquer, Walter lui tourna le dos sans un regard afin de regagner à la hâte le salon. Une imprévue nausée se nicha au creux de l’estomac du vilain petit canard qui emprunta le couloir qui menait à sa chambre. Face à un gigantesque miroir, Aiden détaillait sa tenue peu conventionnelle. Sa chemise était chiffonnée et sortait d’un côté de son pantalon outrageusement bas, quant à sa veste, elle brillait par ses tâches d’alcools en tout genre. Péniblement, l’australien changea de costume pour se vêtir entièrement de gris et d’une chemise noire. Ca annonçait la couleur. Un passage du côté de la salle de bain semblait obligatoire. Et s’avérait d’ailleurs bénéfique. L’air frais qui coulait à présent sur son visage lui fit un bien fou. Après s’être soigneusement essuyé sans jamais quitter son reflet de ses pupilles glaciales. Une légère odeur de menthe s’échappa d’entre ses lèvres satisfaites, une dernière touche de parfum et il pourrait accueillir les deux femmes prochaines femmes de sa vie. Tout en reboutonnant ses boutons de manchettes, il pénétra dans la pièce en essayant de se concentre pour marcher le plus droit possible malgré le degré d’alcool contenant actuellement dans son sang. « Veuillez m’excusez pour ma précédente entrée. Nul doute que ma mémoire est à blâmer j’en ai peur. » Offrant une révérence à Sophia en déposant un prude baiser sur sa main qu’il tenait. Se relevant difficilement, la mère pu se rasseoir pour finalement dévoilé… La fille. Le temps se figea alors quelques instants… Peinant à y croire, Aiden avait devant lui… Samantha. Le femme dont il était tombé amoureux il y avait des années de cela, se trouvait sur son canapé et s’avérait être sa petite sœur. Reprenant ses esprits, le jeune homme s’empara avec douceur de sa main qu’il embrassa. Sans se relever, il se contenta d’hausser le regard vers elle… « Pardonnez mon trouble, vous ressemblez trait pour trait à une ancienne connaissance… Samantha. Je manque à tout mes devoirs, comment vous prénommez vous future belle sœur ? » La toisant avec provocation, il ne bougea pas d’un poil attendant la réponse qui sonnait à ses oreilles comme une lourde sentence.

« Siobhan. » Articula-t-elle avec difficulté dans un souffle à peine perceptible par le reste de l’auditoire en dehors d’Aiden. Son flirt passionné, son souvenir brûlant tout droit ramené de Cancun, se trouvait agenouillé devant elle. Qu’avait-elle fait au bon Dieu pour se retrouvait là ? Orgueilleuse, elle ravala sa surprise quand ses amies aux mœurs légèrement prirent la fuite non sans faire un bruit. Se défiant tout deux du regard, la jeune femme ne voulait pas être la première à devoir détourner ses yeux. Il ne ressemblait en rien à ses souvenirs, cet homme détestable, ce véritable Don Juan des temps modernes, était-il réellement le même qu’Alekseï son tendre amant de vacance ? Ce corps qu’elle avait découverte à mainte reprise n’était que plus développé à la vue de ses muscles saillants étroitement moulés dans sa chemise. Hormis ses traits quelques peu tirés, son visage également était le même. Sa barbe naissante. Ses yeux bleus… « Je voudrais porter un toast. Je me permets de lever mon verre à ce dîner qui était l’occasion de réunir nos deux familles, pour ainsi vous annoncer que d’ici juin, nous n’en formerons plus qu’une. Alors à nous ! » Déclara-t-il fièrement en entrelaçant sa main à celle de Sophia, rougissante devant cet aveu quelque peu précipité après la précédente scène que son fils leur avait servis. Ce dernier avala d’un trait son verre de champagne, ne dissimulant pas son dégoût concernant l’écoeurant discours qu’il venait d’entendre. Elle était si belle. Repoussant avec force l’envie, décuplée par l’alcool, féroce qu’il avait dé parcourir le peu de distance qui le séparait de Siobhan pour venir plaquer ses lèvres contre les siennes avec force. Avec rage. Devant cette triste fatalité, qui plus était inévitable, qu’ils deviendraient d’ici peu des frères et sœurs liés par un simple bout de papier qui autorisait leur parent respectif à copuler dans la plus légitime légalité. Outrageusement provocatrice, Siobhan s’approcha avec son verre en main pour venir s’installer sur l’accoudoir à côté duquel se trouvait Aiden. Paralysé par cette proximité. Du bout des doigts, elle caressa son avant bras en affichant un sourire particulièrement hypocrite. « Je croyais que tu étais russe. » Fulminant, la main de l’australien s’agrippa à son genou en serrant les dents pour ne pas littéralement exploser. « Je croyais que tu t’appelais Samantha ! » Ses pêchés capitaux favoris était nombreux mais, du reste, ici c’était bel et bien la colère flirtant avec l’orgueil qui sévissaient au sein des entrailles d’un Aiden mortifié et furieux. Pourtant, derrière cette hargne, leurs deux corps tremblaient d’un désir passé qui leur revenait en figure par le biais d’une claque violent. Déchirés, les anciens amants avaient été maudit et condamnés à passer le reste de leur jour comme étant considéré comme… Un frère et sa sœur.


FICHE CRÉÉE PAR THISH.



Revenir en haut Aller en bas



Invité


AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. Empty
MessageSujet: Re: AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning.   AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. EmptyMar 7 Mai - 14:40

✿ SITUATION: Richissime

--> Dis heum... Je pourrais pas avoir un prêt pour me construire un château ? Pleaaaase please

Et sinon, franchement, t'as pas honte d'avoir fini ta fiche avec nous ? tuer Woooh C'est bon je te banni moi! Non mais oh! C'est quoi ce truc ? moiii gun

Et sinon... hug2
Revenir en haut Aller en bas



Invité


AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. Empty
MessageSujet: Re: AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning.   AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. EmptyMar 7 Mai - 14:49

    HEUM. Ça dépend... Je peux coucher avec ta copine ? Yeahhhhh --->[]

    Non j'ai pas honte, je suis plutôt fier même hum sexy

    Moi aussi... hug3
Revenir en haut Aller en bas



Invité


AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. Empty
MessageSujet: Re: AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning.   AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. EmptyMar 7 Mai - 14:57

Quelle copine ? J'ai pas de copine moi! Non mais arrêteuuuuh. Suis pas amoureux d'abord! oO kill

Bon sinon... Je vais toujours parler à Rosa (mais c'est pas ma copine hein!) et proposer un arrangement. Faut que je tienne au courant! abeille de leo AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. 1499255007
Revenir en haut Aller en bas


Cameron K. Lightner
Cameron K. Lightner


AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. Tumblr_mx2xy216kN1qeq9lno3_250


✿ THIS IS MY LIFE
Shiny happy people:
AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. Empty
MessageSujet: Re: AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning.   AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. EmptyMar 7 Mai - 15:17

BIENVENUE! camychou Yeahhhhh hug2

Léo James aka le mec qui ferait vraiment n'importe quoi pour un chateau!



Tu es validé!
« Welcome to Kawana Waters! »


Te voilà parmi nous, petit(e) aussie! Maintenant que ta fiche de présentation est terminée, il te faut à présent mettre en place la vie de ton personnage. Pour cela, le staff a mis à la disposition de ses membres tout ce qu'il faut pour s'intégrer, dans la partie "it's you, it's you, it's all for you". Surtout n'oublies pas de répertorier ton avatar dans le bottin, afin qu'il n'y ait aucun problème de doublon! Si tu as des questions nous nous ferons une joie de te répondre, alors n'hésites pas à nous harceler par mp!


FICHE CRÉÉE PAR THISH.
Revenir en haut Aller en bas
https://somewhere-i-belong.forumactif.org/t42-cameron-british-sex



Invité


AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. Empty
MessageSujet: Re: AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning.   AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. EmptyMar 7 Mai - 18:12

Oui n'importe quoi même me prostituer.

Puis bah je te dis pas bienvenue à toi, parce que t'essaye de me faire craquer et je suis une jeune fille sage et pure d'abord.

Mais sinon heart2 mon petit nenecureuil Fais pas trop le fou hein je te connais !!
Revenir en haut Aller en bas



Invité


AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. Empty
MessageSujet: Re: AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning.   AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. EmptyMer 8 Mai - 14:54

    Bienvenue parmi nous!! Kiss
Revenir en haut Aller en bas



Contenu sponsorisé


AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. Empty
MessageSujet: Re: AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning.   AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning. Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

AIDEN ► It burns inside of me... Arbourler, Jameson I love you, the single malts come burning.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Letty ¤ « With the beast inside, there's no where we can hide.  »
» Logan | Don't get too close, it's dark inside
» Rosa and her love letters
» Come on, Vogue Let your body move to the music _ Aiden
» AZA ♫ I love you whatever you do ♪

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: 
Quand grand-mère feuillage s'occupe de la paperasse
 :: My universe will never be the same, I'm glad you came :: Les koalas en liberté
-