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 Mister James --> Love is easy, isn't it ?

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Invité


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MessageSujet: Mister James --> Love is easy, isn't it ?   Mister James --> Love is easy, isn't it ? EmptyVen 12 Avr - 20:38



Léo Thomas James
feat Jared Padalecki

« And we took too many shots, Think we kissed but I forgot »

    Nom : James
    Prénom : Léo
    Date de naissance : 30 avril 1985
    Nationalité : Australien pur boeuf sang
    Lieu de naissance : Parmi des kangourous dans le désert. Puis ils m'ont élevés. Non ? Bon ok, Sidney Baby!
    Statut civil: Célibataire
    Orientation sexuelle : Straight!!!!
    Classe sociale : Aisé
    Emplois ou études : Co propriétaire du Camycaze
    Chanson favorite : Smile, Mcfly
    groupe : Kangourous!
    Inventé ou scénario : Inventé
    Crédit avatars, gifs... : Psychotic Bitch, Tumblr




Léo, Léo, Léo... Ceux qui le connaissent le traiteraient probablement de dingue... Et c'est tellement vrai. Il s'est peut-être un peu assagi ces derniers temps, mais son grain de folie demeure toujours en lui et continuera à l'animer jusqu'à la fin de ses jours, qu'il le veuille ou non. Toujours le premier à relever les défis, à être intrépide, à ne pas se soucier des conséquences, Léo est prêt à tout pour s'amuser et garde son âme d'enfant, même s'il sait être responsable quand il le faut. Il a l'habitude de foncer la tête baissée, sans réfléchir ni avoir peur de rien. Il sera toujours là pour ses amis, ou même pour les gens qu'il ne connaît pas. C'est un grand trait de caractère chez lui : il est tout sauf égoïste et fera toujours passer ces amis au premier plan, toujours prêt à se plier en quatre pour qu'ils soient heureux, à les écouter, à les réconforter et à les câliner, car Léo est un fan de câlins, mais ça ce n'est un secret pour personne. Quand il entreprend quelque chose, il le fait généralement à fond et ne laisse jamais tomber, ce qui fait qu'il est aussi un peu perfectionniste mais assume complètement. Une fois qu'il est déçu de quelqu'un, ou n'aime tout simplement pas une personne, il a du mal à changer d'avis et peut rapidement devenir méchant. Il a beau être adorable la plupart du temps, il ne faut pas le chercher lui et son sens de la répartie assez hard. Si un de ses amis se retrouve blessé par un tiers, il fera tout pour le protéger et le défendre et attaquera sans soucis. Ce n'est pas un grand bagarreur, voir pas du tout, mais cela n'empêche qu'il sait se battre et utiliser ses poings quand il faut, même s'il est plutôt contre. Il aime également le risque et l'aventure et est un grand voyageur dans l'âme. Il a besoin de sa dose de sport quotidienne, sinon il mord. Faire l'huître ne l'intéresse pas, il veut bouger, sortir de son appartement, faire la fête, voir ses amis. Il sera toujours le premier à aller vers les gens pour faire de nouvelles connaissances et saura toujours combler les conversations tellement il peut être bavard. C'est un grand nounours que l'on aime facilement quand on est dans ses amis et qui perd parfois le sens des limites. Il est franc et dit tout haut ce que les gens pensent tout bas, aime jouer avec le feu et adore taquiner ses proches. Pour terminer, il est un indécrottable séducteur et ne pourra jamais s'empêcher de profiter de la compagnie des femmes, qu'il chérit tellement. Il a du mal à redonner sa confiance en l’amour et préfère de lui risquer de ne pas mettre son cœur une nouvelle fois en péril. Sa méfiance lui créera sûrement du tord, mais il est pour le moment encore convaincu d’être mieux protégé dans sa carapace.

VEGAS BABY

Cher journal,

L’autre jour, une personne m’a sorti un truc du genre : « Si tu as quelque chose sur le cœur, un journal est parfait pour épancher tes soucis ». Alors je me suis dit : What the fuck ? Ce n’est pas que j’ai vraiment des soucis ou quoi que ce soit qui me tracasse, ni des problèmes pour en parler à qui que ce soit, j’avais juste envie de voir l’impression que cela faisait d’écrire un journal.

Bon du coup, il va falloir que je trouve un truc à raconter, sinon ça ne va pas le faire. Hum… Bah autant parler de mon point faible pour les jeux d’argent. Il faut que je t’avoue un secret journal (je suis censé te donner un nom ? Je ne sais pas trop. Hummm… Bertrand ? Bref !), depuis que j’ai passé trois moins à Las Vegas, je me suis laissé prendre par ce cercle vicieux. Enfin, pas si vicieux pour moi, car il faut avouer que je suis plutôt doué. Bon, j’ai toujours su que j’étais plutôt fort en math, à vrai dire si je n’avais pas opté pour les langues à l’université, j’aurais bien fait ingénieur, mais là n’est pas le sujet. À Las Vegas donc, je suis tombé sur un gars qui m’a un jour posé une bête question : « Mec, si t’es aussi doué pour les maths, pourquoi tu ne comptes pas les cartes ? ». Suite à cette annonce, mon petit cerveau a commencé à méditer là-dessus et deux ou trois jours plus tard je suis revenu voir mon pote en lui sortant « What the hell, je veux tenter le truc ! » Les risques, je m’en foutais complètement. Faut dire, j’étais jeune et insouciant. Kyle m’a présenté à des gens qui plutôt intelligents qui m’ont appris à gérer tout ça et très vite je suis devenu un excellent joueur. Je gagnais toujours, même si je faisais parfois exprès de perdre pour ne pas trop attirer l’attention. Petit à petit, je suis devenu de plus en plus accro au Black Jack et je passais toutes mes soirées dans différents casinos avec ma nouvelle bande de potes pour éviter de se faire repérer. L’argent s’accumulait et je vivais plus que bien, allant débauche sur débauche et m’amusant comme jamais. Je te raconterais bien tout en détail, mais ce ne serait plus un journal que j’écrirais, plutôt un roman. Et puis j’ai plus tellement d’encre que ça dans mon bic alors tu vois… Enfin bref. Un soir tout a dégénéré parce que un des types n’a pas été assez prudent et il s’est fait prendre. Il est sorti le lendemain avec des bleus un peu partout, signe que les gérants du casino n’étaient pas très très contents d’avoir perdu autant d’argent. Résultat, je me suis dit qu’il était temps pour moi de changer d’horizon, déjà que j’étais resté à Vegas plus longtemps que dans les autres villes de mon voyage. J’ai pris l’avion pour l’Inde et n’ait plus été dans un casino avant très longtemps.

J’y suis retourné pour la première fois à mon retour définitif à Kawana Waters. Un pote m’avait proposé de faire une soirée casino et je n’ai pas pu résisté. Je ne lui ai rien raconté des mes vrais talents et ai préféré jouer à l’innocent ce soir-là, mais je suis revenu le lendemain et ait très rapidement retrouvé une équipe pour se remplir les poches avec moi. Ce n’est même pas vraiment pour l’argent que je fais ça, j’aime juste le jeu, l’adrénaline, savoir que je fais quelque chose de risqué. On évite de se réunir trop souvent, c’est pour cette raison que je ne vais pas plus qu’une fois par mois dans un casino, histoire d’éviter d’avoir des ennuis, mais à chaque fois qu’on se regroupe, on amasse une belle somme qu’on se partage. C’est principalement de cette manière que j’ai pu me payer une aussi belle baraque et apporter les fonds nécessaires pour ouvrir mon restaurant.

Donc voilà, mon cœur est épanché, je me sens mieux, je ne vais pas me suicider. C’est comme ça que je suis censé me sentir à présent ? Ro puis shit, je crois qu’écrire un journal n’est définitivement pas pour moi. Faut dire aussi que je ne me sens pas trop mal par rapport à ce « problème de jeu », surtout que je gère donc bon. C’est chiant d’écrire ce qu’on a en tête non ? Je sais pas toi – enfin toi tu n’as pas de tête mais pas grave – mais j’ai trop de trucs qui se veulent sortir en même temps et ma main n’est pas assez rapide. Trop galère !

Allez Bertrand, je te laisse ! Of course je compte brûler cette petite page, histoire qu’elle ne tombe pas dans des mauvaises mains, si tu vois ce que je veux dire ! Héhé !

Léo ou la bête du Black Jack



Prenez votre ordinateur ou votre ipod et écoutez vos musiques en mode aléatoire, la première chanson sur laquelle vous tomberez, correspondra à l'opening credit de votre vie, continuer au fur et à mesure, jusqu’à arriver à end credit.
Opening credit: Stop & Stare by One Republic
Waking up: Hear me by Kelly Clarkson
First day at school: Downby Jason Walker
Falling in love: Champagne Supernova by Oasis
Fight song: Big Big Worldby Emilia
Prom: Help by McFly (Beatles Cover)
Life: Alone Again by Mcfly
Mental breakdown: Hot by Avril Lavigne
Driving far away: Obviously by Mcfly
Flashback: Gone by Kelly Clarkson
Wedding: Do Ya by Mcfly
Birth of child: Javert's Suicide by Les Misérables
Final battle: Here comes the storm by Mcfly
Death scene: Suddenly by Ashley Tisdale
Funeral song: I dreamed a dreamed by Les Misérables
End credit: Je ne vivrai pas sans toi by Cali




Je m'appelle Robinson Laura et j'ai maintenant 21 ouais ça va hein, c'est pas aussi vieux que Camy. J'ai connu le forum grâce à un koala agressif qui m'a menacé d'un fusil et je le trouve horripilant. Ma fréquence de connexion est de quand j'ai envie! sur sept en rp et de 9 sur sept pour mon activité. Je viens de Belgique. J'ai pris Jared Padalecki comme célébrité et le mot de passe est Ok by me.

FICHE CRÉÉE PAR THISH.


Dernière édition par Léo James le Sam 11 Mai - 18:41, édité 11 fois
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Invité


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MessageSujet: Re: Mister James --> Love is easy, isn't it ?   Mister James --> Love is easy, isn't it ? EmptyVen 12 Avr - 20:54




it's my life !
« une petite citation »

Parce que les histoires ne commencent pas toujours bien…


« Coop ? »
« Oui ? »
« T’as peur ? »
« Non voyons, maman nous a toujours dit qu’une fois qu’on s’endormait, on arrivait dans un paradis avec plein de chocolat ! »
« Ouaaaais ! Et puis tu te souviens dans le film qu’on a vu hier y avait plein de bonhommes jolis et tout et tout. Et puis le vieux avec la barbe il avait dit que c’était un chemin que… enfin il avait l’air de dire que c’était chouette non ? »
« Tu as l’art de complètement transformer les films toi hein. Le vieux il s’appelle Gandalf et il dit que la mort est un chemin qu’il nous faut tout prendre. Et les beaux bonhommes ce sont des elfes patate. »
« Ouais ben maman a dit que j’étais trop jeune pour regarder alors c’est pour ça que je comprends pas tout ! C’est normal d’abord. Un jour je serai aussi intelligent que toi ! »
« C’est mal parti… »
« Héééééé ! »
« J’rigole Léo. »
« … Coop ? »
« Oui ? »
« On se reverra un jour ? »
« Bien sûr. »

Ce fut ces paroles qui clôturèrent la conversation entre les deux frères, la dernière qu’ils n’eurent jamais eu. Le 16 février 1993, à 14 ans, Cooper James expira son dernier souffle, laissant son petit frère de 8 ans seul avec ses parents. Sa leucémie fut diagnostiquée très tôt et il passa la plupart des années de son enfance à se battre contre cette foutu maladie et à s’occuper de son petit frère qu’il adorait. Les James étaient une famille proche, c’était peu de la dire. Soudés comme pas deux, et très protecteurs. Cooper ne laissait pas son frangin sans amour, mais son départ n’en avait pas moins laissé un grand vide dans le cœur du petit Léo. Son grand frère, c’était son héros. Il le vénérait littéralement, le recopiant dès qu’il en avait l’occasion, le suivant partout. Il était difficile à concevoir pour Léo que plus jamais il n’allait pouvoir voir Coop. On lui avait souvent expliqué ce qu’il se passait, qu’on ne pouvait pas le sauver et qu’il allait bientôt s’en aller pour toujours, mais Léo ne le réalisa réellement que le jour où Coop ne se réveilla plus. Il était seul dans la chambre à ce moment-là, endormi à côté de son frère dans le même lit. Quand il s’était réveillé, il avait tenté de sortir Coop de ses songes pour regarder à nouveau Le Seigneur des Anneaux et de comprendre un peu mieux ce qu’il s’était passé, mais il avait eu beau le secouer, sauter à côté de lui, rien à faire : Coop n’avait plus jamais ouvert les yeux. Ce fut un coup dur pour ses parents et l’ambiance à la maison changea quelque peu. Ils vécurent encore une année à Sidney avant de déménager, cette ville ne les aidant pas à avancer. Son père, prof de surf, profita d’une offre de job à la côté pour bouger sa petite famille en espérant que le sourire de ses membres allaient revenir plus facilement de cette manière. Cela prit du temps, mais éventuellement tous les trois finirent par redevenir heureux. Coop leur manqueraient toujours, mais leur vie à eux avait continué. Il arrive toujours un moment où l’absence se fait moins forte, malgré qu’on oublie jamais l’être cher qui avait disparu. Léo était encore relativement jeune quand il avait perdu son frère et les enfants surmontent généralement mieux ces épreuves.


Kawana Waters ou le paradis sur Terre


Léo a donc vécu la plupart de sa vie à Kawana Waters, endroit où il arriva à ses neufs ans et qu’il n’a jamais quitté si ce n’est pour voyager. Le petit chanceux vivait plutôt bien. C’était sa mère qui rapportait le plus d’argent à la maison et cela n’a jamais posé de problèmes à son père qui était plutôt un baba cool sur les bords. Grande architecte intérieure, elle avait travaillé pour les plus grandes têtes australiennes et Léo profitait donc de tous ces avantages et se la coulait plutôt douce. Les années avançaient et malgré le fait que son frère lui manquait toujours énormément, Léo avait appris à vivre sans lui et à accepter l’idée qu’il ne le verrait plus. Son frère aura toujours eu sa place dans son cœur et sera à jamais imprégné en lui comme un tatouage impossible à enlever, mais à vrai dire il n’aimait pas trop parler de lui aux autres. Ce qu’il s’était passé était son secret à lui, son mystère, et parler de son frangin lui ravivait généralement la douleur. Il avait préféré taire son existence et ce très vite après son décès pour pouvoir mieux aller de l’avant. Petit à petit, ce silence était devenu normal, si bien que presque personne de son entourage actuel n’était au courant qu’il avait eu un frère. Il se rendait tous les dimanches à l’hôpital où il s’était porté bénévole dès ses 15 ans pour faire la lecture aux enfants malades, mais personne ne le savait. Bizarrement, Léo voulait garder ça pour lui, peut-être pour préserver un espèce de lien entre lui et son frère, et personne d’autre. Même son meilleur ami et colocataire n’avait jamais su ce qu’il faisait ses dimanches après-midi et devait probablement pensé à une manigance ou à un truc louche.

Quoi qu’il en soit, Léo avait grandit heureux toujours bien entouré, que ce soit d’amis ou de filles. Il était de ces enfants à qui tout réussissait et qui énervait pas mal de gens, pourtant il ne le prenait pas du tout comme ça et était loin d’être prétentieux. Populaire sans s’en rendre compte, Léo avait bien vécu ses années au lycée, se dédiant surtout au sport et aux langues, domaines dans lesquels il excellait. Ce n’était donc pas surprenant pour ses parents de le voir choisir des études d’interprétation à l’âge d’entrer à l’université. Léo avait toujours été encouragé par ceux-ci et avait appris à donner le meilleur de lui-même quoi qu’il arrive. C’était un ado sans problèmes, indépendant et coureur de jupons qui aimait traîner avec ses potes et détestait glander chez lui. Débordant d’énergie, il avait toujours eu la bougeotte, si bien qu’après ses études il décida du jour au lendemain de s’en aller découvrir le monde.


L’Inde, pays aux milles merveilles


Pendant 2 ans il explora de nouvelles contrées, appris de nouvelles cultures, parcourut de nombreux pays. Décrochant petits jobs sur petits jobs, il demeurait généralement un mois dans un pays avant de passer à un suivant, ne parvenant pas à satisfaire sa soif de voyager. Un seul lieu parvint à le faire rester plus longtemps : l’Inde. Et la raison était simple : il avait rencontré une fille. Elle s’appelait Aryana et était aussi belle que le coucher du soleil. Léo en était tombée raide amoureux. Fille de grands avocats, elle ne connaissait pas la pauvreté de son pays et vivait plus modernement que la plupart de ses habitants, plus librement aussi. Léo pensait avoir trouvé la bonne et ne regardait plus aucune fille. Il se voyait déjà s’installer définitivement en Inde pour vivre avec elle, ils avaient des projets, ils s’adoraient. Jamais il n’aurait pu penser que cela finirait mal, et pourtant… Aryana, c’était la première relation sérieuse de Léo, celle qui lui avait fait croire en l’amour, qui lui avait appris à oublier son caractère de Don Juan. Il était donc simple pour lui de s’emballer à son sujet. Ce fut pourtant le cœur brisé qu’il revient à Kawana Waters pour entamer une vie stable et entrer dans le monde des adultes. Il n’avait pas tardé à découvrir que la demoiselle ne se contentait plus de lui et revoyait son ex de temps en temps et ce fut la fin de leur belle histoire. Depuis ce jour, Léo ne croyait tout simplement plus en l’amour et s’était promis de ne plus jamais se laisser duper. Il avait enchaîné les conquêtes à peine de retour dans son pays natal et n’avait plus jamais craqué. S’installant définitivement à Kawana, il décrocha un job dans une boîte d’interprétation et entama un train train quotidien qui lui offrait la stabilité et l’argent, mais qui ne le satisfaisait pas. Heureusement, le Léo déconneur était toujours là et ses amis lui permettaient d’être heureux, car autrement ce job aurait fini tout simplement par le déprimer. Ce n’était plus ce qu’il voulait tout simplement. Léo avait soif d’aventures, et n’aimait pas se laisser guider et exploiter par son boss qui ne foutait rien. Il n’aimait pas ce tas de responsabilités qui s’étaient accumulées et avait perturbées sa vie. Il avait envie de reprendre le goût du risque, de ressentir de la passion dans ce qu’il entreprenait.

« Dude, et si on ouvrait un restau ? »



Cela faisait quelques années maintenant que Léo connaissait Camy et que tous deux étaient devenus les meilleurs amis au monde. Bros quoi qu’il arrive. Ils s’étaient rapidement installés ensemble dans une belle maison et vivaient leur petite vie tranquilou. Mais un jour, Léo ne fut plus du tout satisfait du chemin qu’il avait entrepris et en eut marre de se contenter de ce qu’il avait. L’adrénaline qu’il adorait tant lui manquait terriblement. Il avait besoin de renouveau, d’entreprendre quelque chose, d’être son propre patron, de se lancer dans un projet. Ce fut à la fermeture de leur restaurant préféré qu’ils adoptèrent l’idée loufoque d’ouvrir un restau snack à deux. Après des mois d’organisation, de travaux, de cours de gestion, de sueur, leur rêve se réalisa enfin. Jamais Léo ne s’était senti aussi épanoui et heureux que pendant ce temps-là. Enfin il allait pouvoir vivre comme bon lui semblait et ne pas rester bloquer derrière un bureau, pris sous le stress d’un boulot qui ne lui plaisait plus. Un nouveau tournant s’entamait dans sa vie, et il était prêt à le prendre. Sans parler d’une certaine demoiselle qui lui soufflait plus de courage qu’il ne se laissait le croire…



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